Dans son oeuvre pour grand orchestre, composée entre 1914 et 1917, Gustav Holst consacrait un tableau musical a chaque planète du système solaire, attribuant à chacune ses propres couleurs, énergies et thématiques (Mars qui apporte la guerre, Vénus qui apporte la paix, etc.)
Cet ordre, conservé par La ville en feu comme fil rouge de la partition vocale, laisse ici place à une huitième planète, la Terre, incarnée par le chant Hymn of the Travellers, également composé par Holst.
Les très polyvalents danseurs et chorégraphes de La ville en feu (accueillis par Les Tombées de la Nuit en juillet dernier, avec Le Sacre) interpréteront, en avant-première, cette traversée du système solaire a cappella dans le hall des Champs Libres. Pour une expérience intime et interstellaire.