Dans sa maison miniature en forme de pavillon de banlieue, posée à même le sol, l’artiste néo-zélandais Stephen Bain joue de la musique, cuisine, prépare le thé, sort de son Scrabble… Il faut s’asseoir sur la pelouse synthétique pour être à hauteur de fenêtres et pouvoir communiquer avec cet étrange occupant. Une rencontre décalée et une interrogation mine de rien sur l’intime et l’utopie perdue de la propriété immobilière.